J'ai toujours obtenue tout ce que je désirais dans la vie. Je ne dis pas cela par surplus d'orgueil et d'égo non je dis bel et bien cela car c'est la pure vérité. Je suis née à Vérone d'un père italien et d'une mère américaine. Ne me demander surtout pas ce que ma mère faisait en Italie d'après ce qu'on m'a toujours dit elle était ici en vacance et est rester plus longtemps que prévue à cause de sa rencontre avec mon père. Leurs amours a toujours été une sorte de mensonge sordide. Mais ça c'est une autre histoire. Ils ont divorcés et ma mère décida alors de repartir à Los Angeles, lors du procès pour ce fameux divorces les juges ont décidés que pour le moment il était mieux pour moi de rester vivre avec mon père. On dit souvent que les gosses de riches ont tout pour être heureux. Chassez ces préjugés de vos têtes car je suis loin d'être totalement heureuse. Il me manque une chose. L'amour de mes parents. Ils n'ont jamais été très présent et quoi que je fasse je ne suis jamais réellement digne de leurs attention. Mon père a toujours penser que m'offrir une paire de chaussure par jour compenserais le manque de présence qu'il a laisser derrière lui. Seulement s'il savait que je préfèrerais encore revendre ma collection de chaussures et de robes de créateurs pour pouvoir enfin avoir l'attention dont j'ai besoin il tomberait certainement des nues. A mes dix sept ans j'ai décidés de partir vivre chez ma mère histoire de poursuivre mes études. Je pensais sincèrement que le fausser qui c'était creuser entre nous allait enfin pouvoir se refermer et que nous aurions ainsi une relation mère/fille digne de ce nom mais en vain j'avais tord et je ne pouvais d'ailleurs pas mieux me tromper. Venir à Los Angeles était certainement pire que de l'avoir une fois tout les 36 du mois au téléphone et de la voir à l'occasion pendant une fête importante de l'année. Car au moins lors de ces quelques moments elle semblait contente de m'avoir au téléphone, et de me voir ce n'est plus réellement le cas aujourd'hui. Je dois dire que je ne me sens à ma place nulle part. Mais ça c'est un sentiment qui ne changeras certainement jamais. A LA j'ai fais la rencontre d'une personne très importante pour moi du moins qui l'était jusqu'à un certains moment. Ma meilleure amie Dipsy. Elle et moi c'était un peu l'amitié fusionnelle, l'amitié sans faille, l'amitié parfaite. Nous faisions tout un tas de choses ensembles et nous avions les mêmes centres d'intérêt. Oui je parle au passé car désormais tout cela n'a plus franchement d'importance. Depuis que sa mère est morte je ne la reconnait plus. Je pense qu'un deuil est très difficile et j'ai tout fait pour être au mieux présente pour elle mais cela est si compliqué. Elle n'est plus réellement ce que je définis comme la Dipsy que je connaissait autrefois. On dit généralement que le changement à du bon mais je pense que sur elle ce n'est pas une chose très positive du moins de mon point de vue. Elle est devenue si sérieuse que parfois j'ai du mal à réellement la suivre. Je me souviendrais toujours du jour où j'ai pris conscience que notre amitié prenais un tournant important. « D. Toi et moi on sors ce soir je nous ai fait invités à une fête qui promet! » C'était une soirée très importante pour moi car j'avais réellement besoin de me changer les idées avec la pression des cours et les relations plutôt conflictuelle que j'entretenais avec ma mère, Dipsy était un peu la seule personne qui m'aidais à ne pas péter un plomb. Je reverrais toujours l'expression de son visage lorsqu'elle m'avait regarder dédaigneusement ce jour-là. « J'ai un devoir à boucler B. » « Tu rigole là? » « Absolument pas il faudrait que tu partes maintenant B. S'il-te-plaît. » m'avait-elle alors répondue sans même réellement prêter une quelconque attention à ma personne. Depuis ce jour s'en était suivie une multitudes de refus. Elle ne pouvait jamais sortir. N'avait rarement le temps de passer me voir. Je ne cherche pas à sembler superficielle mais au fond toute cette connerie d'élève sérieuse m'aura blesser dans mon égo. Les études me prenaient ma meilleure amie il fallait que je remédie à cela. Une chose était certaine j'étais prête à tout pour récupérer ma meilleure amie. Enfin ça c'était avant l'arriver de Lennon.